Promenade entre mer et œuvres d’art


Les œuvres sont dans l’eau, dans la pelouse, dans la forêt. Parc de sculptures d’Henie Onstad.

La grande banane Filipstad (3e ligne à droite) définit traditionnellement le Pop Art américain selon l’artiste Claes Oldenburg

La sculpture d’Emile Gilioli, Esprit, eau et sang (5e ligne à droite) : nous avons la même dans le domaine de Peyrassol (Flassans-sur-Issole, Var).

Une courte et très agréable balade mais je n’ai pas vu toutes les sculptures. Malgré le plan, je ne les ai pas toutes identifiées avec certitude : image de l’œuvre à droite de celle du Kunstsenter (4e ligne) et la dernière au carrefour.

L’ours de Eiksmarka


Temps gris, pluie fine mais ce n’est pas ça qui arrête le promeneur norvégien… ou français. Nous stationnons sur le parking d’Østervann à 1km du plan d’eau Østervannet qui possède une petite plage se trouvant à l’extrémité sud du lac. Le panneau d’informations touristiques est écrit en norvégien, dommage.

Piste forestière facile, balisée de bleu, plate, qui a une toute autre allure sous la neige. Elle traverse une forêt, près de tirs incessants : le centre de tirs (skytesenter) est tout proche et c’est parfois difficile de s’abstraire du bruit. En arrivant au bord du lac, on accède à un îlot de quelques mètres carrés, grâce à une dizaine de pierres de gué que Claire s’empresse d’emprunter. Malgré la pluie, le temps est agréable et lumineux.

Si le balisage bleu est plus rustique qu’en France, je constate que les chemins piétonniers ou cyclistes sont prévus pour passer sous les routes plutôt que sur la route, évitant ainsi les carrefours dangereux ; et ils sont éclairés en plus !

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Barcelone : Sagrada Familia


Une drôle de basilique gigantesque, en construction depuis 1882, conçue par l’artiste catalan Antoni Gaudi ; d’ailleurs il y a en permanence des échafaudages. Gaudi a suivi les travaux jusqu’à sa mort en 1926 (il s’est fait renverser par un trolleybus ; il est mort des suites de cet accident), remaniant constamment les plans et vivant même sur le chantier, pendant 16 ans. Il n’a terminé que la chapelle de San José, la crypte et le portail de la Nativité. Il repose dans la crypte de son chef-d’œuvre.

Les dix-huit tours évoquent les douze apôtres, les quatre évangélistes, la Vierge Marie et le Christ. L’immense flèche de 170 mètres de haut incarnera le Christ.

Avec ses couleurs de façades différentes, son gigantisme, des motifs de sculpture gothiques à côté de motifs modernes stylisés, des sujets que l’on ne s’attend pas à trouver tels que des gallinacées ou des fruits, des matériaux variés (pierre, mosaïques, fer forgé, verre, etc), un carré magique qui côtoie la représentation de la trahison de Judas, etc. on peut aimer ou détester cette architecture, mais elle ne laissera pas indifférente : elle vaut le déplacement.

5 nefs verticales, des façades monumentales et des tours recouvertes de mosaïques donnent une impression de jamais vu.

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