Roubion, premier safari GPS de l’été


Premier Safari GPS à Roubion

Cliquer sur la photo pour visualiser avec GoogleMap (voir mode d’emploi en fin de note) une sélection de photos durant le parcours du premier safari GPS à Roubion le 8 juillet 2007. Que vous soyez chasseur de trésor ou simple randonneur, le parcours proposé vous intéressera.

Plein de paysages différents, beaucoup de fleurs et d’insectes, de la fraîcheur, des sentiers bien repérés, le safari GPS fut l’occasion de découvrir le charme montagnard de ce village des Alpes maritimes, situé en moyenne montagne.

8.875km, 3h de marche environ. La bonne idée c’était les deux boucles se croisant à la station des Buisses où il était donc possible de manger à midi avant de repartir pour la seconde boucle.

A chaque coin de rue, le village réserve des surprises : un lavoir public fleuri par des propriétaires privés, une vieille fontaine, une ruelle en escalier, des monuments éclairés la nuit. J’ai regretté simplement que les fils électriques et téléphoniques traversent les ruelles ou se montrent ostensiblement sans souci du respect de l’authenticité.

Les deux autres bonnes surprises :

  • la chambre d’hôtes, le rupicapra où nous avons été fort bien accueillis ; je retiens les discussions à bâtons rompus avec nos hôtes et un autre couple de randonneurs autour d’un repas copieux plein de surprises locales.
  • un week end dans un gîte communal gagné grâce au tirage au sort ayant suivi la manifestation. A bientôt Roubion !

La mauvaise surprise fut les piqûres d’insectes (tiques, moustiques, aoûtats) auxquelles j’ai réagi tellement fort que j’ai cru avoir attrapé la maladie de Lyme ; un petit conseil donc : protégez-vous avec des pantalons longs ou des répulsifs si vous êtes allergique .

Le site officiel de Roubion

Une note plus longue complètera cette première découverte. Pour l’heure, je pars en vacances…

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Comment fonctionne Google Map ?
Cliquer sur la photo : quand la carte satellite GoogleMap s’ouvre, cliquer sur chaque icône rouge Marker.pngen forme de larme ; la photo prise à cet endroit précis de la randonnée s’affiche. En cliquant sur l’image, la photo apparait en grand.
Sur la gauche, une échelle de zoom permet de se rapprocher ou s’éloigner.
Les icônes à droite permettent de visualiser les routes, la carte satellite ou les deux (mixte).
Chaque photo est également visible à partir du menu « select a photo ».
Avec la main qui apparait sur la carte, en maintenant le clic, vous pouvez déplacer la carte pour centrer le parcours au milieu de votre écran

Rando mania a un an…


Un an déjà que ce blog est ouvert sans publicité, dans son propre domaine, grâce à ma fille Flora qui m’y a poussée. Je me suis délibérément positionnée « hors des sentiers battus » ; j’ai pris le parti de :

  • parler volontiers des itinéraires peu connus (les classiques, vous les trouvez dans les guides) : le jeu de geocaching est à cet effet un allié incontournable,
  • ne pas décrire les itinéraires classiques que vous trouvez sur d’autres sites,
  • essayer de comprendre l’environnement dans lequel je marche : pourquoi un oppidum à cet endroit, comment l’astérolide maritime peut-il pousser dans les rochers au cap Croisette (Marseilleveyre et la grotte Saint-Michel), comment construit-on une borie, pourquoi une prison dans l’abbaye Saint-Félix de Monceau à Gigean, etc.
  • toujours découvrir (« ne pas marcher idiot ») et informer. Je sélectionne mes sources : syndicat d’initiative, Bibliothèque Numérique Gallica, sites de généalogie, spécialistes du domaine, quelquefois sites personnels. J’essaie de faire valider le contenu par des spécialistes du domaine : par exemple la note sur le chateau de Forcalqueiret a été relu par Ada Hameau, responsable des fouilles ; pour le chateau de Ferreyrolles, j’ai posé des questions sur le forum des Camisards ; pour le fort de Niolon, Luc Malchair a apporté quelques corrections techniques relatives aux fortifications. Si j’emprunte une photo ou une citation, je cite mes sources. Une note représente toujours de plusieurs heures à plusieurs jours de travail !
  • y mettre ce que j’ai recherché moi-même sans le trouver facilement : la réglementation sur les restrictions de circulation dans les massifs forestiers en Provence par exemple,
  • échanger et communiquer avec ceux qui ont les mêmes centres d’intérêt : j’ai localisé l’oppidum survolé par Bernard, donné à Mélissa quelques références sur la ferme des Templiers qu’elle avait aperçue le long de l’autoroute à Brignolles, ou connu grâce à Max l’adresse d’un fabricant de fromages de brebis à Montjustin. Je fais régulièrement des visites sur le blog de Catherine randonneuse excellente photographe, Ti’Mars… alimente mon blog des photos prises lors de nos parties de geocaching ; Bob13 m’a fait découvrir les gorges sauvages de la Nesque ; Gilbert Bauer (site saute-colline) m’a communiqué un itinéraire de randonnée pour la chartreuse de la Verne ; Gilles Chinieu m’a invité à déguster son vin de Chusclan. De nombreux geocacheurs sont devenus des compagnons de route ou des amis. Chaque rencontre est une aventure humaine. Je les remercie tous.
  • aider ou collaborer :  j’ajoute des fiches descriptives de mes randonnées sur le site Week-ends et tourisme en Provence ; je suis parfois sollicitée pour une idée de randonnée ; j’ai intégré récemment le réseau des professionnels de la randonnée en Vaucluse.

Avec une telle optique, il est normal que 55 internautes sur 100 ne fassent que passer sur le site. Les autres y restent en moyenne entre 2 et 5mn. Continuer la lecture de Rando mania a un an…